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Compte rendu de l'atelier du 5 octobre 2014
- Par Muriel Dechorgnat
- Le 30/04/2015
- Dans Ateliers de pratique
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J’ai établi ce compte rendu à partir de mes notes….. et comme je n’ai pas tout noté, il vous semblera peut-être
incomplet…. -
Atelier de psychologie indienne et du yoga - le dimanche 5 octobre 2014
- Par Muriel Dechorgnat
- Le 17/11/2014
- Dans Ateliers de pratique
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Atelier : "psychologie indienne, psychologie du yoga"
(dimanche 5 octobre 2014)
avec Anuradha CHOUDRY et Vinayachandra BANAVATHY -
2è jour : visite de Mamallapuram
- Par Muriel Dechorgnat
- Le 30/11/2013
- Dans Voyage en INDE du Sud - Tamil Nadu - 2013
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Pris par mes cours, pris par mes stages de yoga, cet été, je n'ai pas eu le temps de continuer le récit de mon
voyage en Inde.......Le voici : -
Voyage -INDE Sud -Mamallapuram -2013
- Par Muriel Dechorgnat
- Le 04/05/2013
- Dans Voyage en INDE du Sud - Tamil Nadu - 2013
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1er jour : 24 février 2013 - Arrivée à l'aéroport de CHENNAI (Madras)
à 15 h15Pour notre première visite en Inde, nous avons choisi l'Inde du sud ( et plus particulièrement le tamil nadu).
Nous avons atterri à Chennai (anciennement appelé Madras), avec l'intention de visiter l'institut de
Krishnamacharya (qui diffuse le yoga de Desikachar, celui que j'enseigne).
Mais sur les conseils d'une amie, plutôt que de commencer à visiter Chennai, nous allons au bord de la mer,
à 1 heure à peu près de l'aéroport, pour nous habituer à la chaleur, au monde, aux odeurs, bref pour nous
acclimater au "choc culturel" qui semble inhérent à tout arrivée en Inde.Nous avons décidé d'aller à Mamallapuram. J'avais réservé à partir de la France une guest house pour notre
arrivée. En suivant les avis de "Voyageforum.com" et du "routard.com", j'ai réservé à la "Sril Harul Guest
House", qui se trouvant au bord de la mer, pouvait nous proposer une "vue sur la mer". Nous n'avons pas été
du tout déçu : pour 9OO Rs pour deux, par nuit, c'est-à-dire envion 13 euros, nous étions juste au bord de la
plage......
et en effet, le soir, c'était bien sympa de pouvoir se rafraîchir à l'air et au vent de la mer. La chambre était
simple, mais propre, avec un ventilateur, appréciable car la nuit, il faisait chaud....... Détail amusant : le drap
du dessus ne faisait pas la largeur du lit. Il a fallu que je bataille quelquefois avec mon mari pour avoir un
bout de drap, car l'air du ventilateur pouvait finir par être frais !....... La "Sri Harul Guest House"
...... La terrasse de notre chambre (presque les pieds dans l'eau)
..... La plage vue de la terrasse sur le toit de la guest house
avec le TEMPLE du RIVAGE au loin -
Comment se vider la tête des soucis
- Par Muriel Dechorgnat
- Le 14/10/2012
- Dans Histoires à méditer
- 2 commentaires
Nous avons beau savoir qu'il faut lâcher les pensées et les émotions négatives, ne pas les ruminer.....
.....que cela ne sert à rien, qu'à nous miner intérieurement...............mais lâcher n'est pas si simple.Alors voici un petit truc qui peut vous aider............Quel serait pour vous
l'objet qui vous permettrait de vous vider la tête, si vous n'avez pas d'arbre
dans votre jardin.....?
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Joie et spiritualité (11juin2012)
- Par Muriel Dechorgnat
- Le 11/06/2012
- Dans Philosophie
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Cultiver la joie
Les Assises Nationales du yoga, organisées par la F.N.E.Y, se sont tenues cette année à Reims du 17 au 20 mai. Le thème proposé était "Cultiver la Joie".
La joie "ananda" se révèle lorsqu'on atteint l'état de conscience absolue, Purusha. Cet état est considéré comme un état de félicité car délivré des émotions
de l'égo : c'est "Kaivalaya", la délivrance des turpitudes du samsara.Isabelle Morin-Larbey, Présidente de la FNEY, a été interwiewée par le magazine "La Vie", en avril 2012.
Son explication concernant la Joie et la Spiritualité du Yoga est claire et lumineuse. Je ne peux résister à vous en livrer quelques extraits.~~~~~~~~~~~~~~~~~~
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Yoga physique ou yoga mou ?
- Par Muriel Dechorgnat
- Le 20/02/2012
- Dans Pratique
- 2 commentaires
YOGA PHYSIQUE OU YOGA MOU ?
Faut-il pratiquer un yoga physique, intense ou un yoga plus tranquille, plus doux ?
Le yoga que j'ai pratiqué à mes débuts, il y a plus de 45 ans, en 1979, était un yoga où le mot-clé était
« lâcher prise ». Lorsque j'ai suivi ma formation de professeur de yoga, j'ai découvert d'autres yogas plus
physique.Cette expérience me permet de penser qu'aucun yoga n'est mieux qu'un autre.
Chaque yoga est bien pour une personne donnée à un moment donné de sa vie. Et notre cheminement
intérieur peut nous amener à avoir besoin de changer notre approche, à y amener des pratiques
différentes et aller ainsi vers une autre forme de yoga. De toute façon, entamer et mettre le premier
pas sur le chemin du yoga qu'il soit physique ou doux, est déjà une amorce de transformation
intérieure.
Chacun choisira alors le yoga qui lui convient le mieux à ce moment précis de son vécu.......et qui sera
peut-être différent quelques années plus tard.Tous les yogas doivent développer la conscience et l'ouverture d'esprit et de cœur.
Restons donc ouvert et acceptons que quelqu'un préfère une pratique de yoga qui n'est pas la nôtre.Mon premier professeur était une élève de Jean Klein et enseignait le yoga de la non-dualité
(yoga du cachemire).Sa pédagogie était basé sur le « lâcher, lâcher, lâcher................ ». Lâcher les tensions, lâcher l'effort,
lâcher les pensées........
Il s'agissait de pratiquer dans le NON-FAIRE : prendre la posture dans la lenteur du mouvement pour
ne pas être dans une saisie musculaire et dans la posture statique relâcher les tensions du muscle.Ce professeur travaillait aussi avec la méthode Alexander (C'est une méthode rééducative, qui va favoriser,
par son intervention posturale, le traitement et la réduction des tensions nocives. L'intervention posturale mobilise toute la
structure du squelette pour permettre un fonctionnement et une position plus harmonieuse de la tête, du dos, des bras et des
jambes ),
Je me rappelle de séances individuelles où elle me faisait faire un geste corporel du bras ou de la
jambe, sans que je n'intervienne. C'est elle qui induisait un mouvement à mon bras. Mon rôle était de
« lâcher » et de me laisser guider.Oh, combien était difficile de ne pas anticiper l'action et de laisser faire !
Mais ce travail m'a beaucoup aidé dans ma pratique du yoga avec ce professeur qui enseignait le yoga
de la non-dualité, le yoga du non-faire.Je me souviens également de séances individuelles, en yoga cette fois-ci, toujours avec ce même
professeur, où lors de la prise du Lotus, par exemple, elle venait rectifier la position de ma verticalité
et pour cela mettait juste son doigt sur un point de la colonne, là où justement je m'affaissais. Puis
avec une légère impulsion du doigt, elle me faisait me redresser tout en me disant : « lâche, lâche....
..lâche........sans t'affaisser ».Oh, combien ce travail intérieur était également difficile !!
car il fallait que je tienne, tout en lâchant intérieurement : il ne devait plus y avoir de poids sur le
doigt du professeur (situé sur le point d'affaissement de ma colonne) ; je devais alléger vers le
haut............ sans être dans la rigidité.Quand j'arrivais par bonheur à lâcher tout en tenant mon dos droit, j'avais alors une sensation
intérieure de légèreté, de vastitude intérieure.Quelques années plus tard, j'ai entamé une formation de professeur de yoga en 4 ans, à l'Ecole
Française de Yoga ( E.F.Y.). J'y ai appris, lorsque nous étudiâmes les textes sacrés, que cette
notion de tenir et de lâcher était le « sthira-sukha » de l'aphorisme II. 46 des yoga-sutras
de Patanjali (Traduction de Françoise Mazet) :« L'asana : être fermement établi dans un espace heureux. »
et que cette sensation très agréable ressentie alors était les joyaux de Gérard Blitz dans sa traduction
de l'aphorisme II, 37 :« Quand le désir de prendre disparaît, les joyaux apparaissent. »
Mais j'ai réalisé qu'à vouloir appliquer le « non-faire », depuis tant d'années, j'avais tendance à être
trop dans le lâcher prise.....tout en tenant la position certes.......mais vraiment avec le minimum de
rigueur, puisque j'étais toujours en deçà de mes limites corporelles. Je n'allais jamais au-delà .J'ai pris conscience de cela lors du stage probatoire que l'on doit effectuer pour intégrer l'école, et
que j'avais choisi au hasard (s'il existe !), puisque je ne connaissais pas du tout les différentes lignées
proposées par l'école : le yoga de ce stage était le yoga de Nil Hahoutoff, un yoga que j'ai trouvé très
physique par rapport à celui que je pratiquais, et qui ressemble un peu au yoga d'Iyengar ;Evidemment comme rigueur dans le yoga, il n'y avait pas mieux. Je trouvais cela à l'opposé de ce
que je faisais habituellement. Mais au fil de la semaine, je me rendis compte, qu'être tout le temps
dans le lâcher prise, ne me permettait pas de progresser dans le travail postural, et que la tonicité ne
pouvait qu'être un plus avec le lâcher prise.Je compris aussi que j'avais tendance à oublier le côté ardeur et intense de
la posture, que « la rigueur » était une notion qui avait sa place dans la tenue d'une
posture , mais qu'il ne fallait pas être volontariste et rigide, et que faire du yoga
n'était pas seulement lâcher prise.
Maintenant dans mon enseignement, je concilie les deux :
pratiquer d'une façon intense dans un esprit de détachement intérieur.
- Intense ne veut pas dire forcer son corps et aller au delà des limites dans la souffrance.
Intense ne veut pas dire non plus que l'esprit est dans une attitude volontariste.
Intense veut dire pratiquer d'une façon persévérante, et d'une façon à chauffer le corps (tapas)
pour dissoudre toutes les tensions physiques.
- le lâcher prise va se situer : physiquement au niveau des muscles qui n'ont pas besoin d'entrer
en action , mais surtout mentalement au niveau de l'esprit qui va être dans une présence
consciente et dans un accueil de manière à observer le mouvement ou toute pratique mise en
oeuvre (asana, pranayama, récitation de mantra, visualisation des chakras et des énergies ....).L'action dans la non-action.
Comment choisir son yoga ?
C'est une tâche en fait bien difficile quand on débute. Souvent on ne sait même pas qu'il existe
plusieurs formes de yoga. On s'inscrit donc au cours qui est le plus près de chez soi, et quelque
fois on peut être déçu, car la forme de yoga enseigné ne correspond pas à nos attentes.Krishnamacharya disait qu'il existe un yoga pour chaque individu, et qu'il faut choisir celui qui
correspond à notre personnalité.Le mieux est donc d'essayer plusieurs cours, si on a la chance d'avoir une variété dans sa région.
En général, chaque professeur vous propose toujours de faire un essai avant de vous inscrire.Les yogas peuvent être différents selon les professeurs. Chacun se vale : une forme plus physique
n'est pas mieux qu'une forme plus douce, et réciproquement.Mais il y a quand même quelques critères à respecter qui font que le yoga est du yoga.
Si ce n'est que physique, c'est de la gymnastique; si ce n'est que du lâcher prise, c'est
de la relaxation.Le yoga travaille sur 3 dimensions : le corps, le souffle, l'esprit.
Dans un cours, il doit y avoir des :
- postures (plus ou moins physiques ou douces),
- un travail respiratoire avec le pranayama,
- et un travail sur l'esprit avec des exercices de concentration et de méditation.
Selon les yogas, la concentration se fera sur des supports différents : les sensations, le souffle,
l'énergie, des visualisations sur mandalas ou chakras ou des récitations de mantra etc..... .
Votre yoga n'inclut pas forcément tous ces supports, mais c'est quand même du yoga à partir
du moment où la pratique est faite sur les 3 dimensions citées plus haut et dans une attitude
intérieure d'écoute. Car le yoga est une voie d'intériorisation.
L'autre particularité du yoga est d'effectuer des postures en statique.
Il peut y avoir des enchaînements, des phases dynamiques; mais il doit y avoir absolument un
temps où la posture est tenue dans la durée et dans l'immobilité du corps et de l'esprit.
Le but du yoga étant, après avoir dilaté le corps physique et fait circuler les énergies, de stabiliser
et pacifier le mental. -
L'histoire de l'âne et du puits
- Par Muriel Dechorgnat
- Le 08/01/2012
- Dans Histoires à méditer
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